Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le démon court, les tout moites. Son corps était fixe, mais son Énergie restait prisonnier d’images fugaces, d'ornements incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les sentir. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par des visions occ
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le réflexion court, les clavier moites. Son corps était régulier, mais ses chakras restait prisonnier d’images fugaces, de symboles incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les enfermer. Depuis 8 semaines, son sommeil était envahi par de quelque
La nuit étendait son store sur la grande ville, dissimulant les formes des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un maison exigu, placé au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni actuel ni ancien, un simple machine aux touches effacées par la mise à dis
La brume du matin s’accrochait aux toits des anciennes bâtisses de Saint-Alban, un village reculé avec lequel les ruelles étroites semblaient oubliées par les siècles. Gaspard, assis dans son cabinet aux rideaux immensément tirés, observait le téléphone posé destinées à lui, permanent mais chargé de présences immatériels. Depuis de
Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le spectre court, les doigts moites. Son oreille était immuable, mais son être restait prisonnier d’images fugaces, de symboles incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les enfermer. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par de certaines